“Nous pourrions croire que Stefano Bonazzi participait à une campagne de sensibilisation contre les effets néfastes du tabac, mais il n’en est rien. Sur fond noir, les corps, d’un blanc-gris très sombre, se désintègrent, se dissolvent dans l’air. Ils partent en fumée, s’effacent, pour disparaître peu à peu.
Les postures adoptées par ses modèles sont celles de la souffrance, de l’abandon, de la défaite. Les corps sont voués à disparaître. Tordus, agenouillés, courbés, recroquevillés, ils se consument. L’Homme est diminué, il est affaiblit. Il se meurt. La souffrance est lancinante, le mal omniprésent, en action. Mais le silence règne alors que tout se meurt à petit feu.”
-Déniché par Jules Calet
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